Bonjour 🙂
Voilà un bien beau sujet pour lequel tu sollicites mes avis.
Il y a une trentaine d’années, un des pratiquants de Vekidjo (l’école de Zen que j’ai mise en forme) m’a interrogé sur ce qu’il avait compris que Jung avait exposé. Ce pratiquant est psychologue, il a cessé son étude avec les outils, le savoir-faire, le savoir-être et le savoir-devenir que je proposais. Tel que cet homme m’exposait les
propositions de Carl Gustav Jung, ou plutôt tel que j’avais compris de ce qu’il m’évoquait, celles-ci semblent avoir été différentes que celles que je crois avoir perçues dans la vidéo que tu m’as gentiment envoyée : https://www.youtube.com/watch?
v=asq5teNwkpU
Bref, je vais reprendre les notes écrites au fur et à mesure de la présentation de la vidéo (bien sûr certains passages m’ont probablement échappés, cependant mes commentaires vont pouvoir nourrir notre échange).
Je mettrai en gras ce que j’ai noté de certains points évoqués dans l’exposé puis mon commentaire dans la même présentation que celle que j’utilise maintenant.
Toutefois, dans la vidéo, ce n’est pas Carl Gustav Jung qui s’exprime mais des personnes qui, à travers de leurs propres filtres relatent ce qu’ils ont compris ou ce qu’ils croient avoir compris de ce que C. G. Jung a présenté comme piste évolutionniste, ici dans le cas d’une des composantes du Vivant phénoménale : l’être humain. Donc, prudence…
Je ne traiterai des sujets qu’à partir de mon empirisme, d’une réflexion reposant que sur mon empirisme sans entrer dans un domaine intellectuel pour éviter les filtres égotiques (et, évidemment, en étant conscient de mon très faible niveau intellectuel, tant du côté des savoirs que du côté de l’intelligence analytique).
Divin, Dieu est en nous, Dieu une entité extérieure, non. Mon Expérimentation « mystique » a été, après coup de celle-ci, de constater que cet espace dimensionnel infini, de durée sans commencement et sans fin, de Lumière absolue et chatoyante, de sécurité incroyable semble être ce qui Est. Ce qui Est dans
chaque particule phénoménale et entre chaque particule phénoménale, comme un bain de lumière dans lequel chaque particule est elle-même bain de Lumière.
Aussi, nommer cela « Dieu », « le Divin » reste un élément de langage d’époque et de lieu.
Le principal m’apparaît être le partage de cette Expérimentation en de-ça, en çà et au-delà de l’humain ; comme Cela est indéfinissable nous pourrions dire au-delà du par-delà.
Les mots sont toujours un piège dans ce domaine… et le sens des mots que chacune ou chacun leur accorde n’est pas forcément le même que d’autres lui attribueraient…
Pour résumer, cette Lumière infinie, me paraît être ce qui nous entoure, ce qui est nous et tous phénomènes. Une sorte de source, ruisseau, rivière, fleuve, océan, évaporation, désaltération, nourriture, brouillard, crachin, grésil, neige, grêlon, givre et
gelée, …, qui se manifesteraient au fond de l’océan cosmique.
Je lui ai attribué le terme d’Âme, afin de faire le lien d’évidence avec l’âme « individuelle » car lors de cette Expérimentation devenue Expérience, le sujet, soit la conscience égotique, se délite et disparaît laissant place à la vacuité. L’âme qui, entraînée et activée, est alors en fusion absolue avec ce que j’ai essayé de décrire plus haut : l’Âme devient l’âme et l’âme devient l’Âme.
Autrement présenté : si nous restions dans le domaine de la conscience égotique, ce qui Est ne peut apparaître à l’âme…
Nous connecter à l’Universel. Cette présentation me paraît dualiste et me semble contredire l’affirmation que « Dieu, une entité extérieure, non« . (probablement une histoire de filtre intellectuel interprétant les termes de C.G. Jung ?).
Au regard de ma présentation au paragraphe ci-dessus, il est évident que le « nous »sortant de la dynamique de l’Expérimentation pour qu’Elle se produise, la notion duelle n’est plus présente.
Imagination active. L’Expérimentation que j’ai essayée de mettre en mots est apparue au travers de l’ensemble de l’être assis en position dite du Bouddha, dans une dynamique tranquille basée sur la respiration, la tenue de la position assise de verticalisation délicate, de l’activité des six sens (bioconscience, olfaction, vision, audition, goût et toucher) et de
l’observation du flux des productions mentales.
L’Expérimentation a laissé place inconsciemment à l’Expérience alors que s’est naturellement délité tout ce qui fut de la dynamique de la position assise dite du Bouddha.
Aussi, la notion d’imagination, même active, n’a pas eu de manifestation dans ce processus.
Cependant, je peux concevoir que ce qui Est puisse apparaître, être dévoilé dans d’autre(s) circonstance(s) que celle de « mon » Expérimentation-Expérience.
Individuation. Cette action qui donne à ressentir sa singularité par rapport aux autres humains pourrait bien être un piège puissant menant à l’égocentrisme, anthropocentrisme, narcissisme, individualisme, égoïsme…
Je nomme cela « individualité », un terme qui parle d’état -du verbe « être »-. Dans l’Enseignement du Zen Vekidjo le Cheminement mène à une étape qui est l’individualité. Cependant, durant ce Cheminement qui s’appuie sur la position assise du Bouddha (je n’ai pas écrit « posture du Bouddha » mais « position » : donc assise ou
assis en action, en dynamique, tel que je l’ai sommairement décrite plus haut (pour plus de détails, voir les ouvrages sur le site https://bambukoro.org/12-zen-vekidjomeditations ou sur les sites : https://ueoo.wordpress.com/vekigo et https://centrezen.com
À partir de la dynamique produite au sein de la position assise que je nomme Veksido (assise de l’Éveil) la personne dans son propre quotidien ajuste son attitude, ses comportements, ses gestes, ses actions, ses paroles et observe ses pensées en choisissant celles qui lui paraissent subjectivement adaptées à être incarnées pour vivre
des choix de vie cohérents. Ce que je nomme les « huit facettes de l’unité ».
La cohérence étant subjective, la personne est consciente de la relativité de cela, comme celle de tout ce qu’elle ressent, perçoit et pense. Cela est complété par d’autres « lois-principes » à constater et à appliquer, s’il y a eu validation par l’empirisme et la raison égotique, qui sont : la force de gravité l’attraction par le noyau terrestre sur
les individus et toutes formes de phénomènes sur notre Terre, l’impermanence, l’interdépendance, l’interaction, la causalité et la transmigration.Ainsi se crée une personne qui a élargi son « monde intérieur » et s’est mieux reliée au « monde extérieur ». Dès lors, cette personne est bien différente de celle qu’elle fut avant de Cheminer ainsi en validant chaque étape issue de l’empirisme. Je nomme cela
« individualité ». Nous pourrions relever que cet état advient par une « individuation ».
Cependant, dans l’Enseignement du Zen Vekidjo, c’est le Cheminement décrit qui, comme un poussin qui pousse sa coquille et ainsi se muscle, aboutit à une personne bien différente de ce qu’elle fut, tout en ressemblant à cette dernière aux yeux des
autres. Quoique… à bien y regarder…
3e voie: la manifestation du Soi qui cherche à communiquer avec vous. Cette présentation est bigrement dualiste et égotique ! Encore des mots…
Je ne peux répondre à ces termes, seul C.G. Jung le pourrait, ou des personnes ayant eu les mêmes Réalisations que lui.
Que quelques manifestations en nous apparaissent de temps à autre lorsque l’œil de l’esprit n’est plus encombré par la dynamique égotique, soit, je partage car je l’ai maintes fois vécu. Cela ne fut que « lorsque l’œil de l’esprit n’était plus encombré par la dynamique égotique ».
Aucun dualisme donc, seulement un « assoupissement égotique » permet naturellement que ce qui Est apparaisse.
La synchronicité. Au niveau individuel, que deux productions mentales sans lien apparent donnent naissance à une nouvelle pensée, cela me paraît simple… Cependant, j’ai écrit « sans lien apparent », car entre les informations génétiques et épigénétiques, notamment
lorsqu’elles sont inconscientes, apparaissent et donnent naissance à une pensée qui paraît nouvelle, elle vient alors des informations génétiques et épigénétiques… mais pas seulement. Là, la notion « d’inconscient collectif » est à souligner car elle peut bien
compléter la première forme -indissociable- de la synchronicité- : si les pensées peuvent s’incarner (au sens de prendre chair ou former un phénomène, consciemment ou, la plupart du temps, inconsciemment, et prenant en compte que les informations ont un
support pour cheminer et forme la matière phénoménale, que ces informations composent tout ou partie (je ne le sais pas bien) de l’univers, une personne peut donc être des pensées qui s’incarnent et deviennent cette personne « nouvelle ».
Numineux. Nous sommes toujours amenés à utiliser les mots pour échanger, notamment sans être face-à-face, situation dans laquelle le « langage non-verbal » parle plus que la sémantique employée…
Les caractéristiques égotiques (la croyance en tout ce qui semble être nous et nous différencie de nos semblables en générant notre manière d’être et d’agir) des individus l’isolent apparemment du reste du Vivant et de la Conscience Cosmique lumineuse qui
est eux et tout le reste de l’Univers. Ainsi apparaissent des concepts dualistes…
Par les expérimentations de Cheminement et l’Expérience, ces concepts fondent peu à peu et totalement comme neige au Soleil…
Parfois, ces concepts peuvent aider des personnes à espérer, toutefois réaliser sa vraie ou véritable Nature résout les interrogations et les souffrances, et, libère l’esprit de ses
limites…
Le rêve, message du Soi. Ici est une de mes incompétences. Donc, je ne commente pas.
Âme, amour. Mon constat Expérimental m’a amené à utiliser les termes âme, Âme, Âmitié et Âmour. Comme j’ai précédemment écrits « âme et Âme », ces mots dans notre langue française -mais peut-être dans d’autres langues également, je n’en sais rien- alors qu’ils sont utilisés après la grande Expérience ont tout leur sens profond, infini, au-delà et en-deça de tout. Ils représentent la racine du fait d’avoir Expérimenté la composition intrinsèque de tous les phénomènes et non-phénomènes passés, présents et futurs. Ainsi, placer un accent circonflexe sur les termes « Âmitié » et « Âmour » fait référence à l’Expérience ; et aussi à l’Expérimentation des Chercheurs en termes d’Aspiration, de Résolution à construire son individualité, telle qu’elle est précédemment décrite, … qui se délitera naturellement pour laisser apparaître ce qui Est.
Méditation, pleine conscience. * Méditer : réfléchir profondément à un sujet.
À notre époque et dans notre pays, ce verbe et le mot représentant son action de… : la méditation, sont utilisés par facilité et convenance. Jusqu’à même s’appliquer à la présentation de la position assise dite du Bouddha, Veksido ou Zazen. Or, Veksido n’a rien à voir avec l’étymologie de ces termes. Je te renvoie à la présentation succincte au début de mes commentaires pour constater qu’aucune ressemblance existe.
À part, peut-être et non-observée avec des yeux de compétences, une position assise.
* Pleine conscience : à partir de quoi ?
Lorsque le Cheminement ne prend pas en compte dans l’application concrète au quotidien et le plus possible les huit facettes de l’unité et les lois-principes, j’ai des doutes sur l’entièreté d’un cheminement complet. Cependant, je peux me tromper…
Harmoniser la conscience. L’exposé dans la vidéo est trop succinct concernant notamment « la conscience ». De quelle conscience parle-t-on ?
Sensorielle, sensitive, égotique, bio-consciente, bioconsciente verticale, égotique verticale, … ?
S’il s’agit d’harmoniser, il me semble nécessaire de considérer ce qui crée une dysharmonie.
Par exemple dans le Budô japonais, l’un d’eux, l’Aïkidô, utilise le terme d’harmonie pour se signifier. Toute l’étude de ses adeptes consiste à réaliser ce qui est dysharmonie et dépasser la croyance en l’égo, construire une bioconscience verticale à partir et au-delà de l’égo afin que l’harmonie naturelle apparaisse.
Par le Cheminement du Zen Vekidjo, les facteurs de dysharmonies apparaissent pas à pas, et subitement par l’Expérience. Ainsi, l’âme devient Âme (ce qu’elle a toujours été dès la conception pour cette dynamique informationnelle qu’est l’individu et jusqu’à son dernier moment de conscience, même inconsciemment) et réciproquement.
Aligner l’ego et le Soi. Alors que l’ego constate qu’une autre dimension de conscience incarnée, notamment la bioconscience verticale à partir des huit facettes de l’unité et des lois-principes, régit l’être, l’alignement est une conséquence automatique.
Sans cette autre dimension, … je doute… cependant peut-être serait-ce possible… ?
Crises et initiation. Entre ego et Aspiration à ressentir, et, ou nécessité d’Évolution, une sorte de dualisme plus ou moins sensible ou douloureux apparaît. C’est une de mes constations, personnelles et auprès des personnes que j’accompagne.
Ce dualisme engendre des crises plus ou moins puissantes en regard de la dynamique informationnelle (nommée parfois le karma en Asie). Cette dynamique contient à la fois la puissance de la reproduction incarnée des informations passées génétiques et
épigénétiques et l’Aspiration à réaliser « sa » ou la vraie Nature.
J’ai très souvent constaté que cette dynamique est un combat. Parfois, durant un temps ou pour tout le reste de la vie, ce combat est gagné par l’ego qui protège l’être qui n’est pas encore prêt à vivre le dévoilement de l’Âme. Et parfois, l’Aspiration utilise tranquillement l’Initiation, avec résolution délicate et puissante les outils, le savoir-faire, le savoir-être et le savoir-devenir qui la porteront, malgré quelles rechutes probables et les verticalisations et recentrages nécessaires, vers le dévoilement de cette vraie Nature. Ce n’est alors pas un combat.
L’être est alors accompli spirituellement au travers et au sein de tout son être.
Psyché et Cosmos. Tout ce dit est conscient ou inconscient me paraît être une donnée totalement intégrée au Cosmos comme en étant une partie.
L’esprit analytique et égotique non-vertical pourrait opposer ces deux termes. Du point de vue du Zen Vekidjo, c’est un égarement, … mais qui pourrait aider certaines personnes à réfléchir puis à Cheminer. Rien n’est blanc ou noir, juste ou faux…
Intelligence supérieure. Voilà un concept ou un constat, ?, qui interroge mon petit cerveau de moineau !
La dynamique de complexification phénoménale qui forme une partie, une infime partie très probablement, de ce que nous constatons en terme de phénomènes, paraît être le fruit de la causalité.
Cependant, cette Âme, comme j’ai essayé de La décrire imparfaitement, qui paraît à l’Expérience non-consciente, et qui crée les consciences, notamment chez nous humains, cette Âme -qui est nous et tout, donc pas que « nous »…- aurait-elle des desseins ?
Les humains créeraient ainsi des desseins qui sont un potentiel de création par l’Âme.
Que de questionnements alors… Je suis incapable de répondre à cela !
Seulement évoquer du vécu…
Transmigration, connexion. Des informations qui migrent d’un phénomène à l’autre. Je partage. Mais les phénomènes sont-ils vraiment séparés ? Je n’en crois rien.
Une expérimentation réalisée par des scientifiques Allemands ou Suisses, pardon à eux pour ma mémoire défaillante, a montré qu’en séparant un pied de plante en deux parties et en les éloignant de plusieurs kilomètres de distance, les actions menées sur
l’une étant simultanément ressenties par l’autre… à méditer…
Plusieurs fois, des perceptions de situations simultanées sont apparues et ont été confirmées, d’autres fois des situations manifestées plus tard sont apparues avant et ont été manifestées le lendemain (ces expériences sont décrites dans l’ouvrage « Au
Cœur de la Vie« ). Il s’agit bien de transmigration et de connexions donc, je partage ce constat.
Cette dimension du Vivant devrait bien faire réfléchir tous les actes de chacune et de chacun de nous… en nous posant les questions « que vais-je choisir, la bienveillance ou la peur ? La détestation ou l’amitié ? Etc. »… mais pour choisir, il est nécessaire d’avoir l’énergie du choix afin d’agir conformément à ce type de pensée éclairée…
Comment libérer l’énergie du choix ?
J’ai déjà répondu à cela entre les lignes. 😉
Racine des souffrances. Les croyances limitées de l’ego – protecteur de l’être jusqu’au moment où une conscience dormante sera prête à être l’être – ferment aux êtres les perceptions de leur dimension cosmique, leur être de chair, de sang et de spiritualité.
Or, ces perceptions sont comme des espaces inconnus qui attendent que leur porte s’ouvre et que sol, murs, fenêtres, porte et plafond disparaissent pour que l’être constate sa Plénitude qui somnolait et se réveillant lui montrerait ses souffrances passées comme des luttes entre histoire et Aspiration.
C’est comme si la naissance d’un humain était le potentiel de libération des souffrances des ancêtres incarnées en lui pour « revenir à la Maison »… sans jamais L’avoir quittée ! Comme une naissance issue de la Co-naissance…
Véritable Nature. L’adjectif et le mot conviennent parfaitement.
Psyché et religieux. Sans reprendre ce que j’ai écrit à propos de la psyché précédemment, le fait, j’écris bien « le fait », de constater la « véritable Nature » par l’Expérience, et non par l’imagination, démontre que tout est lié, unité.
Aussi, utiliser le terme « religieux », soit « qui relie », me semble inadapté. Car peut-on rel-lier ce qui est déjà unité ?
Le seul domaine ou le terme « religieux » pourrait être utilisé, et encore cela est totalement limité à la croyance égotique illusoire serait de concevoir l’humain comme en dehors du Cosmos. Ce qui n’est pas au regard de l’Expérience.
Donc ce type de terme est utilisé par méconnaissance ou ignorance de ce qui Est. Par conséquent, il conduit des générations d’êtres de souffrances en souffrances…
Matérialisme et spiritualisme. La matière créée par des êtres accomplis ou en Cheminement serait au service du Vivant, ou pour le moins dans une perpétuelle adaptation et respect pour le Vivant.
Ainsi, la transformation de la matière deviendrait un moyen, un moyen de vivre pour s’accomplir, pour s’entraider à s’accomplir dans l’adelphité, la complémentarité reconnue des phénomènes, dans l’humilité et la mise au service de « son » être dans la dynamique de paradis que pourrait être notre planète.
Mais, mais, les milliards de paquets informationnels que nous sommes sont à la fois juste à la porte, au fond du gouffre et en Cheminement…
Besoin inné de spiritualité. La spiritualité semble être l’Aspiration à dévoiler notre véritable Nature.
Si cette Aspiration restait « aux mains des croyances égotiques », ces dernières l’utiliseraient à leurs fins propres et seraient dans l’égarement et la multiplications des souffrances.
Si elles les percevaient comme un appui à l’Évolution, alors elles Chemineraient jusqu’à s’oublier elles-mêmes jusqu’à ce que l’âme vive qu’elle est l’Âme.
Crises et opportunités de transformation. Les êtres qui souffrent, les êtres qui s’interrogent et qui ont lu jusqu’à ce passage sont probablement convaincus que les crises sont des dynamiques de mutation(s), aussi en considérant les crises ainsi, ces dernières deviennent un appui ferme pour les pas suivants.
Authenticité du Cheminement. Grande question !!!
Le Cheminement résonne-t’il pour un profit personnel ?
Le Cheminement fait-il écho à l’Aspiration ?
L’Aspiration est-elle vraiment l’Aspiration ?
Prêt(e) à Cheminer vers l’Inconnu inconsciemment connu ?
Prêt(e) à être trans-formé(e), déformé(e), formé(e) à d’autres informations ?
Prêt(e) à plus que « soi » ?
Quelle sincérité face à ce auquel nous aspirons ?
Quels engagements mets-je en œuvre ?
Comment envisage-je le temps qui passe, le temps qui me reste à vivre, l’urgence de mon aspiration ?
Voilà mon Âmi les quelques commentaires, bien insuffisants et sur quelques des sujets que cette vidéo suggère.
Au plaisir d’échanger. À bientôt.
Monto de Paco – Eterna Lojaleco